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Écoles publiques et privées à Montmorency (suite)

Août 1830, Louis-Philippe remplace Charles X. Le nouveau Roi s’engage dans «la Charte révisée» à modifier le statut de l’enseignement : art. 69 : «il sera pourvu par des lois séparées aux objets qui suivent : l’instruction publique et la liberté de l’enseignement...».

Dès 1833, la loi organisant l'instruction primaire publique est votée mais la liberté de l’enseignement reste un problème épineux qui, malgré les réclamations de Lamennais (l’ Avenir 7 décembre 1830) de Montalembert (discours à la Chambre 19 septembre 1831) entre autres, ne trouvera de solution que 20 ans plus tard.

1833-1850 : Deux écoles (communale et privée) controlées par l’État et L'Église

La loi Guizot (28 juin 1833) crée les écoles primaires publiques : désormais, toute commune de plus de 500 habitants doit ouvrir une école de garçons (1) Révolution ? non car cette loi ne change guère la situation de fait.

Nous le constatons, il existe peu de différences entre ces deux catégories d’écoles: le contrôle de l'État sur le recrutement et l'influence de l’Église sur l’enseignement s’exercent dans les deux cas. Pourtant, il y aura de moins en moins de clercs dans les écoles publiques de garçons alors que les religieuses enseignant dans les écoles publiques de filles seront toujours très nombreuses : c’est que le nombre des Écoles Normales d’Institutrices est encore insignifiant alors que chaque département possède désormais son École Normale d’Instituteurs.

À Montmorency, le conseil municipal réuni le 17/08/1833 pour examiner la situation scolaire estime être en règle avec la loi: l’école de garçons dirigée par M. Gontier, compte 59 élèves ; les parents versent 2F par mois, sauf ceux des 23 enfants qui figurent sur la liste des indigents. Quant à l’école des filles, elle est toujours confiée aux Sœurs de la Sagesse et installée dans les locaux de l’Hospice ; la redevance mensuelle y est de 1,50F ; quelques fillettes y sont admises gratuitement.

L'enseignement primaire prévu par la loi est donc assuré dans notre cité, mais il existe aussi, dès cette époque, des établissements privés tels le “Pensionnat de Jeunes Gens”, dont le directeur a, de 1827 à 1835, versé 10 livres par an pour réserver des chaises à la Collégiale et “le Pensionnat de Jeunes Demoiselles” dont Mademoiselle Héloïse de Mussy assure la direction (2).

Que sont ces établissements ? localisation, recrutement, origine des internes, nous ignorons tout.

La coexistence entre les deux catégories d'écoles semble ne poser aucun problème, l’opinion publique accepte facilement que la religion soit enseignée à l’école mais certains catholiques, par l'intermédiaire de Montalembert et de Louis Veuillot (3) réclament l’application des promesses de 1830 : la liberté de l’enseignement, c’est-à-dire la disparition de tout contrôle de l’Université sur les écoles, à savoir :

Cette interprétation maximaliste est rejetée par les gouvernements de l’époque qui, prêts à accepter un compromis, refusent toutefois d’aliéner leur droit de contrôle. Cinq projets de loi seront, entre 1836 et 1847, présentés par les ministres de Louis-Philippe (Villemain, Salvandy, etc...) en vain !!

Ce n’est qu’en 1850 que le Président de la République Louis-Napoléon Bonaparte, ayant besoin pour se maintenir au pouvoir (puis devenir Empereur) des suffrages catholiques fera voter la loi Falloux qui instaurera la liberté de l’enseignement.

7 rue de Jaigny
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1850-1880 : des écoles, privées, laïques ou congréganistes, de plus en plus nombreuses mais peu différentes, quant à l'enseignement des écoles publiques

Les conditions requises pour ouvrir une école sont ainsi précisées dans la loi du 15 mars 1850 :

Si le directeur répond à ces conditions, aucun titre n’est exigé des professeurs.

Les catholiques ont donc désormais la liberté d’ouvrir des écoles et le libre choix des enseignants, des méthodes et des programmes mais un certain contrôle des pouvoirs publics est maintenu: il faut, en effet, déposer à la mairie de la commune dans laquelle l’école doit ouvrir les preuves de moralité et de capacité exigées par la loi (4) ; le maire doit également juger de la salubrité et de la sécurité des locaux.

Tout changement de direction et toute création d’école doivent être à partir de 1866, consignés dans un registre tenu en mairie, enfin, la loi de juin 1881 rend obligatoire le brevet de capacité (5).

Le nombre des écoles privées ne va cesser de croître.

Il avait existé à Montmorency, des écoles privées avant 1866, quelques mentions éparses dans les Archives nous le prouvent, mais ce n’est qu’à partir de cette date, grâce au registre obligatoire, que nous avons des renseignements relativement précis (6).

Trente et une écoles privées seront créées dans notre ville entre 1866 et 1914. Que sont ces écoles ?

Pour les garçons, il existe 2 écoles primaires : ouvertes l’une, en 1871 dans l’actuelle avenue de la Division Leclerc par l’organiste d’Enghien, l’autre, rue des Jardins au Parc Séchan, par Denis Pasquier qui est autorisé en 1877 à recevoir 10 externes à son domicile. Qu’en conclure ?

Alors que l’école publique encore située Place de l’Auditoire, compte en mars 1881 154 élèves dont 103 indigents (7), ces écoles privées payantes n’attirent que peu d’enfants et ceux-ci appartiennent vraisemblablement à des familles aisées. D’autre part, ces écoles sont situées loin du centre, elles doivent donc répondre à un besoin car il n’y a pas alors d’école publique dans le Bas-Montmorency. Mais leur rentabilité semble aléatoire: alors que la municipalité assure depuis 1875 un traitement annuel de 1 000 F aux instituteurs, seuls s’installent à leur compte des maîtres cherchant un travail d’appoint (cf. l’organiste) ou possédant des locaux assez vastes.

L'enseignement primaire privé masculin est donc presque inexistant dans notre cité ; l’enseignement secondaire, lui, est représenté par un établissement: l’Institution de M. Pollet dans laquelle François Dupont, bachelier, enseigne depuis 1870. En 1874, ayant accompli ses cinq années d’enseignement obligatoires, F. Dupont prend la direction d’un “Internat et Externat de Jeunes Gens” situé au 7 rue de Jaigny (8).

Si les petits montmorencéens vont en majorité à l’école publique, il n’en est pas de même de leurs sœurs. Six écoles de filles ouvrent leurs portes de 1866 à 1880: ce sont toutes des écoles primaires, aucun établissement secondaire pour jeunes filles n’existe alors dans notre ville (9). Tenues par des femmes compétentes qui ont toutes leur brevet de capacité et gagnent ainsi leur vie en tirant parti de leurs propres études (10) car leurs possibilités financières sont en général limitées, ces écoles modestes, aux locaux exigus ne reçoivent que 10 élèves, 15 au maximum et sont localisées dans les vieux quartiers du centre ville (rues de la Grille, de l'Église etc.). Mais parfois l’espace est suffisant pour créer un internat: il s’en installe un en 1866 au 13 rue de l’Église puis un second en 1870 au 3 rue Saint Valéry.

Cette situation va être modifiée par les lois scolaires de la Troisième République. Tandis qu’un décret interdit en mars 1880, l’enseignement aux congrégations non autorisées, la loi de juin 1881 instaure la gratuité de l’enseignement primaire et celle de mars 1882 le rend obligatoire et laïque (11).

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1880-1904 : L'École Publique Gratuite et Laïque face aux écoles privées laïques ou congreganistes.

Quelles sont à Montmorency les conséquences de ces lois scolaires ?

Dans les écoles communales, la gratuité attire de nombreux élèves et les effectifs grimpent de façon notable : 154 garçons en juin 1881, 183 en mars 1882 tandis qu’à l’école maternelle les 2 religieuses aidées par 2 femmes de service accueillent 212 petits, 107 garçons et 105 fillettes (12). Ce gonflement des effectifs pose de gros problèmes à la ville : il devient nécessaire de trouver rapidement des locaux vastes et salubres. La solution sera la création du groupe Pasteur (13).

Les religieuses qui dirigent l’école communale de filles appartiennent à une congrégation autorisée : elles ne sont donc pas visées par le décret de 1880 mais leur remplacement par des institutrices laïques est souhaité par certains habitants et le Conseil municipal, à l'issue de 2 séances agitées, décide par 12 voix contre 6 le départ des religieuses (14). Dès octobre 1880 les 94 fillettes sont confiées à 2 institutrices.

Les écoles privées subissent, elles aussi, des modifications. Les externats primaires de garçons disparaissent tous, incapables de résister face à l’école publique désormais gratuite. Seuls subsistent les internats qui accueillent enfants difficiles ou petits parisiens que leurs parents envoient à la campagne.

Aimable Duval quitte ainsi la direction de l’école communale pour ouvrir un internat : le premier, qu’il installe à son domicile est fort modeste puisqu'il n’est autorisé, vu l’exiguité des locaux, qu’à recevoir 5 enfants! ce qui limite ses revenus. A la recherche de locaux plus vastes, il déménage une première fois et s’installe au 1 rue de la Grille où il héberge 14 internes, mais le triplement de ses effectifs ne semble pas lui suffire et 10 ans plus tard nous le retrouvons, ayant grimpé la côte, installé au 12 rue de la Grille: il y loge 20 élèves. Sur la façade de l’immeuble situé 6 rue Th. Vacher, face à la mairie, il est encore possible de distinguer les traces de l’inscription qui annonçait l’existence en ce lieu (22 rue Saint Jacques à l’époque) de l’autre internat de jeunes gens que dirigeait M. Malingre. Les locaux pouvaient héberger 85 élèves et ce n’était pas leur exiguité qui posait problème! pourtant cet internat connut des difficultés puisqu’après 2 changements de directeur en 1890 et 1891, il dut fermer ses portes.

12, rue de la grille
Ancienne pension Tiger
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Aucun établissement secondaire ne fonctionne.

Côté féminin, la situation est différente : est-ce le souci d’assurer à leurs filles une éducation chrétienne ou la volonté de marquer les différences sociales, toujours est-il que les parents continuent à faire confiance aux écoles privées. Non seulement le nombre de fillettes de l’école publique n’augmente pas, mais au contraire, il chute de 120 en mai 1880 à 94 en mars 1881 et ne remonte à 117 qu’un an plus tard.

Les petites écoles payantes se maintiennent, même avec de faibles effectifs : 5 d’entre elles ont de 6 à 10 externes.

La nouveauté réside en la création d’écoles congréganistes.

La première s’est installée au printemps de 1881 au 13 rue de Jaigny. Elle est tenue par les Sœurs de la Sagesse qui ont obtenu l’accord du Conseil départemental de l’Instruction Publique et la directrice n’est autre que la religieuse qui enseignait à l’école communale depuis 1870. Parmi les 50 externes autorisées figurent certainement une partie de ses anciennes élèves puisque nous avons constaté une baisse du nombre des fillettes fréquentant l’école communale. L'établissement comporte aussi un internat qui peut accueillir 40 enfants dans des locaux vastes et bien situés dans ce quartier calme et verdoyant, proche du centre ville. La seconde est une école pour fillettes que les Sœurs Augustines ont ouverte dans les bâtiments de l’ancien internat de jeunes gens de la rue Th. Vacher.

1 avenue Marchand
École Postel-Louvaud
Actuellement : le Renouveau.
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Autre caractéristique : la multiplication des internats. Dès 1885 l’institut Penache, outre des externes, héberge rue de Grétry 20 internes et les mène jusqu’au brevet élémentaire. L'année suivante, c’est 60 enfants que Mn Bouriez loge av. Marchand dans les locaux de l’actuel Renouveau ; enfin un troisième internat ouvre en 1903 rue du temple.

Ce sont donc 6 écoles laïques, 2 écoles congréganistes et 4 internats (qui acceptent tous des externes) qui constituent les établissements privés féminins.

Ce choix entre école laïque, publique ou privée et école congréganiste n’existe pas pour les garçons; il n’existe plus à Montmorency qu’une école privée : L’Institution Labbé: l’internat du 12 rue de la Grille.

Mais en 1904 le choix va se restreindre.

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1904-1914 : Suppression des écoles congréganistes, maintien des écoles privées laïques

Juillet 1904, une loi interdit l’enseignement à toutes les congrégations, même autorisées. 12 000 établissements sont concernés et doivent soit fermer soit se transformer en établissements laïques.

Quelle est la situation dans notre ville ?

Les 2 écoles religieuses ferment leurs portes.

Les Augustines appliquent la mesure sans attendre ; un acte notarié de 1908 fait mention de “l’ancienne pension des Sœurs Augustines” (15); les locaux restent inoccupés jusqu’à leur vente et leur transformation en logements locatifs en 1911.

4 rue Bague
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Les Sœurs de la Sagesse obéissent aussi et cèdent la place à Me Louvet qui, en 1906 y transfère son internat installé jusque là rue Saint Valéry.

L'école communale de filles connaît une affluence record à la rentrée d’octobre : 210 élèves sont inscrites et les 4 institutrices, submergées, demandent l’ouverture d’une classe supplémentaire (16).

Les autres écoles privées, profitant aussi de l’arrivée d’élèves nouvelles, cherchent des locaux plus appropriés. C’est ainsi qu’en 1907, Mie Millet agrandit son école de la rue Saint Luc, insuffisamment sans doute, puisque Mie Massart qui lui a succédé, déménage à son tour en 1911 et installe au 4 rue Bague une classe maternelle, une école primaire et un internat de jeunes filles, réussissant à loger dans les 3 niveaux de l'immeuble ; 3 classes, 3 dortoirs, le réfectoire et la cour de récréation, sans oublier la cuisine (17).

Signalons enfin l’existence d’un autre internat, d’un genre particulier, il s’agit de l’«orphelinat des Petites Marthes», qui regroupe environ une trentaine d’enfants (18). Cette école située 3 rue Notre Dame (avec une autre entrée rue J.J. Rousseau) comprend une classe pour les plus jeunes et l’internat dans lequel M'e Leluyer accueille les petites filles que l’on prépare à gagner leur vie, en les formant à l’art de tenir une maison: elles seront ainsi faciles à placer dans les familles bourgeoises désireuses d’avoir de parfaites domestiques.

Dernière conséquence de la «laïcisation» des écoles: l’école maternelle de la rue Flageard est supprimée. Les enfants de la maternelle étaient en effet, depuis novembre 1882, scindés en 2 groupes, tandis que les 3-5 ans fréquentaient la vieille salle d’asile confiée à deux religieuses, les plus grands occupaient les classes neuves de la Place des Écoles et dépendaient d’institutrices. L'arrêté ministériel qui supprime en octobre 1903 «l’école congréganiste de 2 classes» provoque la très vive réaction de la famille Moreno de Mora. Cette riche famille avait habité à Montmorency sous le Second Empire (l’actuel Hôtel de Ville était leur propriété) et versait depuis cette époque une rente pour l’entretien de la Salle d’asile. Refusant la décision ministérielle dont elle demande le report, elle exige de la municipalité la réouverture de l’école et envisage des poursuites judiciaires ; les négociations furent difficiles, mais, comme il n’était pas possible de reloger les 211 «petits» dans les locaux de la Place des Écoles, un compromis fut trouvé. Au bout d’un an, l’école de la rue Flageard (22) rouvre ses portes mais avec une institutrice laïque. (19).

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1914-1939 : Après les perturbations provoquées par la guerre, retour à la coexistence entre l'école publique laïque et gratuite et des écoles privées et payantes

Août 1914 : la France mobilise ; les instituteurs répondent à l’appel, laissant là leurs élèves: il faut s’organiser.

Dans les écoles publiques, les classes ont repris normalement pour les filles et tant bien que mal pour les garçons ; mais, en 1915 l’école communale est réquisitionnée et transformée en centre de soins et de convalescence pour la troupe (20). Les 5 classes de garçons fonctionnent mais dans des locaux inattendus: 3 sont logées dans l’école maternelle, une a trouvé refuge dans la Justice de Paix tandis que la dernière occupe la Salle Daval, près du presbytère (21). Quant aux fillettes et aux enfants de la maternelle, ils sont installés à l’orphelinat déserté par les Petites Marthes ; celles-ci se trouvaient dans la Manche en août 1914 et y sont restées jusqu’à la fin de la guerre (18).

Les écoles privées, toutes féminines, ne semblent pas affectées par les événements.

Après la victoire, la situation redevient normale. Les jeunes garçons fréquentent l’unique école de la ville : l’école communale. Si les familles préfèrent un autre enseignement, il faut aller à Groslay, Enghien ou même Paris.

Ce n’est qu’en 1937 que s’ouvrira rue du Cours (23) un externat privé : l’école Saint Martin. Bien que dirigée par un laïc, M. Schir, il s’agit d’une école diocésaine qui accueille 30 élèves dès la première rentrée..

Pour les montmorencéennes le choix existe entre école publique ou privée. Selon ses motivations idéologiques ou sociales, chacun envoie ses filles «à la communale» ou chez «Mie Massart». Installée en 1919 dans de très vastes locaux l’École Jeanne d’Arc abrite une école primaire, un internat et une classe maternelle mixte. Pendant 25 ans une partie non négligeable de la population de notre ville (garçonnets de 3 à 6 ans, fillettes jusqu’à 12 ans) est ainsi venue apprendre à lire et à écrire au 10 Place des Cerisiers.

Quant aux autres établissements scolaires ce sont des internats (Pension Tiger, Internat de l’Av. Marchand) qui ne reçoivent pas d'élèves de Montmorency; et l’orphelinat, rouvert en 1920, a, 5 ans plus tard, cédé la place à une maison de repos: la Maison Notre Dame.

La situation est donc, à la veille de la seconde guerre mondiale, bien différente de celle que nous avons connue 50 ans plus tôt. Les écoles privées ont presque toutes disparu : il n’en subsiste que 2, une pour les filles, la pension Jeanne d’Arc, une pour les garçons, toute récente, l’école Saint Martin. Par contre, les internats sont, comme les maisons de retraite, en nombre croissant : il en fonctionne 4 en 1939.

»auteur"> Jacqueline Rabasse

Nous vous proposons de publier dans notre prochain numéro les témoignages des personnes ayant fréquenté les écoles de Montmorency entre 1900 et 1939 de façon à compléter cette étude théorique par des faits vécus. Si vous êtes intéressés, prenez contact avec la Société d'Histoire. Merci d’avance.

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Notes

(1) Il n’y a pas d'école mixte et ce n’est qu’en 1867 que Victor Duruy rendra obligatoire l'ouverture d'écoles de filles.

(2) Archives paroissiales. Sommier des revenus de la Fabrique : location des chaises.

(3) Le Comte de Montalembert est membre de la Chambre des Pairs ; Veuillot écrit des articles passionnés dans le journal l'Univers.

(4) Ce dossier en 4 exemplaires est destiné au Maire, au Préfet, au Procureur Impérial et à l’Inspecteur d’Académie.

(5) Il existe 2 brevets de capacité :

(6) Le registre n'indique que l'ouverture et les changements de direction et jamais la date de fermeture de ces écoles.

(7) P.V. Conseil municipal 29 novembre 1880.

(8) Seul renseignement concernant cet établissement.

(9) Il en est de même dans l’enseignement public : ce n’est qu’en 1882 que la loi Camille Sée instituera des lycées de jeunes filles.

(10) La moitié d’entre elles sont célibataires:

(11) La religion n'est plus enseignée à l’école, elle est remplacée par la morale.

(12) P.V. Conseil 3.8.1881.

(13) Pour cet aspect de la question nous renvoyons à la brochure de Ch. Rowe : 3 siècles d'instruction publique à Montmorency. Edition de la Caisse des Écoles 1975.

(14) P.V. Conseil 10 et 18 mai 1880.

(15) Archives privées

(16) P.V. Conseil 22 octobre 1904

(17) Témoignage recueilli auprès d’une ancienne élève.

(18) Témoignage de Mme H.L.

(19) P.V. Conseil 12.3.1904

(20) Comme beaucoup d’autres établissements scolaires.

(21) Témoignage de M. A.F.

(22) Ancienne rue du quartier de l’'Observance aujourd’hui démoli.

(23) Actuellement rue Jean Moulin.

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